56 articles avec negociations nationales

Fin de négociation NAO à Pôle emploi

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

 

Communication à télécharger ICI

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Le Dossier : Négociation Mutuelle / Prévoyance !

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

Pour lire le dossier en entier ou le télécharger cliquez ICI .

 

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La CFE-CGC Métiers de l'Emploi réaffirme son engagement pour l'égalité homme/femme en signant l'accord 2020 !

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

 

 

Télécharger la communication ICI

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Prélèvement à la Source : Impact sur les salaires de juin et décembre

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

L'arrivée du prélèvement à la Source n'est pas sans impact pour les salariés de droit privé de Pôle Emploi.

 

La CFE-CGC Métiers de l'Emploi dès l'été 2018 avait alerté la Direction sur l'impact du prélèvement à la source, en particulier sur les salaires versés sur les mois de juin et de décembre. Voir cet article sur notre blog pour les explications. En résumé, une possibilité pour de nombreux agents d'avoir un salaire versé en décembre et juin inférieur à un mois ordinaire après prélèvement à la source.

 

Pour la CFE-CGC Métiers de l'Emploi, il était extrêmement important de trouver une solution pour qu'aucun agent ne soit en difficultés financières du fait du passage au PAS.

 

Solution proposée par la Direction

 

Les calculs de la Direction montre que le passage de l’acompte versé en novembre et mai à 60% (au lieu de 75% actuellement) permettrait de faire en sorte que 95% des agents auraient un salaire en juin et décembre égal ou supérieur à un mois ordinaire.

 

Il restera donc 5% d'agents à avoir un mois de décembre et juin inférieur à un mois normal. La rémunération annuelle sera malgré tout la même et les agents concernés devront  anticiper cette situation pour les mois de juin et décembre ; le mois de décembre étant le plus critique.

 

Cette solution nécessite une modification des articles 13 et 18 de la CCN ce qui permettra en même temps de clarifier l'application de cet acompte qui ne correspondait pas tout à fait à l'écriture actuelle. Un avenant de révision de la CCN est donc proposé à la signature des organisations syndicales.

 

Commentaire de la CFE-CGC Métiers de l'Emploi

 

La CFE-CGC Métiers de l'Emploi, à l'origine de l'alerte sur le sujet, voulait faire en sorte de limiter au maximum le nombre d'agents impactés. La solution proposée par la Direction va dans ce sens.

 

Modifier encore plus le ratio aurait posé des difficultés par rapport aux habitudes des agents pour des dépenses en novembre en anticipation de noël et en mai pour le paiement de vacances.

 

Télécharger le tract ICI

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27 février 2019 : les discussions sur les mesures séniors reprennent enfin !

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

Comme prévu dans l'accord QVT de 2017, l'employeur avait programmé fin 2018 au calendrier social, une réunion le mercredi 27 février 2019 sur le thème des séniors.

 

 

Dès l’ouverture de cette réunion, Jean-Yves Cribier DGA-RH a indiqué,  que dans l'environnement actuel, il avait des contraintes très fortes : pas de coût supplémentaire  (Financiers et humains) et pas de mesure  qui allongerait la durée des carrières.

Autant dire que cela limite fortement, pour ne pas dire extrêmement fortement les solutions possibles pour constituer un accord. Il faut aussi préciser que l’employeur quant a lui n’a fait aucune proposition pour cette séance.

 

Il a ensuite invité les organisations syndicales à faire part de leurs propositions.

 

Afin d’agir sur la fatigabilité, l’usure au travail et l’impact que les trajets domicile travail peuvent avoir sur notre santé,  la CFE-CGC Métiers de l'Emploi a proposé que les séniors puissent travailler 4 jours par semaine selon 2 modalités :

 

 

A partir de 60 ans :

 

  • Option 1 : Travailler 32h / 4 jours (8h) sans perte de salaire, maintien des congés et des RTT. Grâce au cumul de l’heure journalière des séniors et une bonification hebdomadaire de 1h30 de l’employeur
     
  • Option 2  (proposition complémentaire de la CFE-CGC) : Travailler 30h / 4 jours (7h30) sans perte de salaire, maintien des congés. Grâce au cumul de l’heure journalière des séniors, des RTT et une bonification hebdomadaire de 1h30 de l’employeur

 

 

En clair :

 

Il est très facile de comprendre qu'avec les contraintes annoncées dès le départ par la direction, que la grande majorité des demandes des organisations syndicales risquent de passer à la trappe. Il reste dans l'ensemble des demandes des petites mesures à coût zéro pour l'employeur, mais qui ne sont pas nécessairement faciles à mettre en œuvre car pouvant se heurter à une règlementation qui ne le permet pas.

 

L'employeur a donc collecté les demandes, les étudiera et reviendra vers les organisations syndicales courant juillet pour une prochaine réunion.

Son seul engagement à ce stade est de regarder et d'étudier les demandes... mais toujours en rappelant ses contraintes !

 

 

Colère froide

 

 

Il est difficile pour la CFE-CGC Métiers de l'Emploi de cacher sa colère, et pas contre la direction mais contre le fait que les 2 demandes rappelées ci-dessus étaient à l'époque intégrées dans le projet d'accord QVT. C'est à la demande d'une organisation syndicale, la CFDT, qui ne voulait pas entendre parler d’autre proposition que la sienne, que la direction a retiré cette partie et s'est engagée à ouvrir plus tard une réunion... tout en disant clairement que ce qu'elle était en capacité de proposer aujourd'hui n'avait aucune garantie de pouvoir revenir au cours de cette négociation spécifique !

 

 

Nous n’oublions pas pourquoi nous en sommes là aujourd’hui, c'est-à-dire rien pour les séniors 2 ans après la signature de l’accord QVT, et qui en porte la responsabilité.

 

 

La tendance n'étant pas actuellement à créer de nouvelles dépenses, nous ne pouvons que constater que les mesures de l'époque sont tout simplement passées sous le nez de nos collègues.

 

Nous espérons qu’il sortira quelque chose de positif de cette  reprise des discussions et ne pas revivre les moments sordides de 2017.

 

La suite peut-être en juillet 2019 !

 

Télécharger le tract ICI

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NAO : 2019 sera encore une année blanche !

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

La Négociation Annuelle Obligatoire sur les salaires s'est tenue le mercredi 27 février 2019 et comme en 2018, nous en ressortons quasiment bredouille.

 

Lors de cette réunion matinale, la CFE-CGC Métiers de l'Emploi a demandé : 

 

  • une augmentation de la valeur du point et de la part fixe de 2,5%
  • le passage du ticket restaurant au butoir fiscal ce qui le passerait à 9,20 euros valeur faciale.
  • le versement d'une prime de 1000 euros.

 

Pour la CFE-CGC Métiers de l'Emploi, ces propositions se justifient au vu de l'évolution des prix mais aussi au regard des voeux du Directeur Général qui, de manière très appuyée, reconnaissait :

 

  • les efforts quotidiens,
  • la qualité du travail réalisé par les agents de Pôle Emploi,
  • l’adaptabilité aux nombreuses mutations vécues depuis 10 ans sans discontinuer,
  • l'atteinte cette année encore des objectifs. 

 

Alors voilà, oui la direction reconnait les efforts du personnel, l'atteinte des objectifs de la convention tripartite mais pour la NAO en 2019, ce sera ZÉRO ! Pas d'augmentation générale des salaires, pas de prime.

 

Petite consolation  (il faut bien se raccrocher à quelque chose), la Direction est d'accord pour ramener, par décision unilatérale, le ticket restaurant au butoir fiscal, soit une valeur faciale de 9,20 euros.

 

Tout cela reste bien peu au regard des propos de notre DG et de notre Ministre lors des vœux de ce début d'année !

 

Tract à télécharger ICI

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NAO 2018 : Zéro pointé !

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

La Négociation Annuelle Obligatoire (NAO) s'est tenue ce mardi 6 mars 2018.

 

Compte tenu d'accords antérieurs, la négociation était réduite aux seuls salaires.

 

"Seuls salaires" qui sont bien évidemment un sujet d'importance pour les salariés de Pôle Emploi qui subissent depuis plus de 10 ans toutes les transformations possibles et inimaginables sans jamais rien dire, qui mettent en oeuvre tous les plans des gouvernements successifs avec professionnalisme.

 

 

Les agents de Pôle Emploi sans qui les bons résultats et l'atteinte des objectifs n'auraient pas été possibles pouvaient légitimement espérer une augmentation générale de leurs salaires.

 

 

La réponse de la direction à cette attente fut sans appel !

 

 

C'est sans vaciller et avec un calme glaçant que la direction après avoir reconnu les efforts du personnel, a décidé de remercier ceux-ci en leur accordant 0% d'augmentation générale des salaires considérant que la mise en oeuvre du mécanisme de la compensation de la CSG lui coûtait déjà fort cher (3,5m € sur un an).

 

 

En 2018, la DG récompense vos efforts avec :

 

  • Zéro revalorisation de la partie fixe !
     
  • Zéro revalorisation de la valeur du point !

 

 

Les agents de Pôle Emploi, à défaut de reconnaissance salariale pour leurs efforts et de gain de pouvoir d'achat promis par le Président de la République, devront finalement payer à crédit la pseudo compensation de la CSG.

 

 

Déclaration de l'ensemble des Organisations Syndicales : Téléchargez ICI

 

NAO 2018 : Zéro pointé !

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Classification : texte mis à la signature

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

Veuillez trouver ci-dessous l'accord classification ouvert à la signature :

 

Accord classification ouvert à signature

 

L'accord est ouvert à la signature jusqu'au 22 novembre 2017 midi. Conformément à ses statuts, la CFE-CGC Métiers de l'Emploi réunira son Conseil d'Administration le 22 novembre 2017 matin pour prendre une décision au regard de ce texte.

 

Nous reviendrons plus en détail sur le texte et les négociations dans des articles à suivre dans les prochains jours.

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Réunion NAO du 28 septembre 2017

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

Comme convenu durant la NAO de début d'année, une clause prévoyait une réunion supplémentaire en septembre. Cette réunion s'est tenue le jeudi 28 septembre 2017.

 

La première partie de la réunion a abordé un autre point que la NAO mais qui touche directement les salaires (la hausse de la CSG et les conséquences pour les salaires des agents de Pôle Emploi avec leurs spécificités selon les statuts et les niveaux).

 

Si le projet gouvernemental est clairement annoncé comme accompagné d'une hausse du pouvoir d'achat pour les actifs, dans les faits, tous les actifs ne sont pas concernés de la même façon et en particulier chez nous, à Pôle Emploi.

 

Si, en dehors de Pôle Emploi, les salariés du privé peuvent espérer que la compensation de la hausse de 1,7% de la CSG, par la baisse (plus importante mais étalée) de certaines cotisations apportera bien un gain salariale à ces salariés, les fonctionnaires eux semblent ne pouvoir espérer qu'une stricte compensation aboutissant à une absence de gain.

 

A Pôle Emploi nous n'avons pas une mais trois situations :

  1. Les agents de statut public
    => la direction nous répond que la méthode qui sera décidée pour les fonctionnaires sera celle appliquée aux agents sous statut public à Pôle Emploi. Donc aucun gain de pouvoir d'achat !
     
  2. Les agents sous statut privé au-dessus du seuil et donc soumis à la contribution exceptionnelle de solidarité.
    => si les taux (+1,7% pour la CSG, suppression maladie/maternité/inv/décès-0,75) et de la contribution exceptionnelle de solidarité (1%)) montre une baisse plus importe que la hausse (0,05%), ces taux s'appliquent à des bases différentes qui nous laissent penser que cela induit au final une baisse de revenu. La Direction nous dit que la différence sera compensée. Donc aucun gain de pouvoir d'achat !
     
  3. Les agents sous statut public sous le seuil et non soumis à la contribution exceptionnelle de solidarité.
    => Comme il n'est pas possible de compenser par la suppression de cette contribution, la compensation promise par l'employeur sera plus importante mais là encore, aucun gain de pouvoir d'achat !

 

La difficulté est que pour le deuxième et le troisième cas, la situation d'un même agent peut fluctuer autours du seuil déclenchant cette contribution. La difficulté pour l'employeur, sera de trouver un mécanisme pouvant s'adapter à une situation qui ne sera pas nécessairement figée dans le temps ! 

 

En conclusion, sur la mesure "CSG", si l'employeur cherche comment compenser pour qu'il n'y ait pas de perte de pouvoir d'achat, il ne cherche par contre pas à atteindre l'objectif du gain salarial promis par le Président de la République.

 

Sinon, parce que c'était tout de même l'objet de la réunion, quid de la NAO ?

L'employeur n'a laissé aucune place au suspens en disant tout de suite qu'il n'avait rien pour accompagner une augmentation généralisée des salaires, donc 0 pour cette séance de revoyure. 2017 en restera donc au 0,5% d'avril !

 

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Entre coupes drastiques et dégraissage budgétaire : où va Pôle Emploi ?

Publié le par CFE-CGC Métiers de l'Emploi

Communiqué de presse CFE-CGC Métiers de l’Emploi

 

 

Par voie de presse, la question de Pôle Emploi est encore une fois propulsée sur le devant de la scène. Ainsi, évoque-t-on de nouveau la « nécessité » d’une baisse budgétaire, avec comme corollaire un dégraissage annoncé des effectifs, notamment sur les postes d’encadrement que certains qualifient « d’armée mexicaine » !

 

Encore une fois, on stigmatise et on caricature ! Pôle Emploi coûterait trop cher et devrait être dégraissé.

 

Non, le personnel de Pôle Emploi et son encadrement ne peuvent servir de variable d’ajustement à une politique erratique qui semble menée au jour le jour !

 

Ni fainéants, ni cyniques, ni nantis, le personnel de Pôle Emploi n’a pas à avoir honte de l’accomplissement de ses missions !

 

Non, Pôle emploi n’a pas à rougir de son action et de ses résultats !

 

À heure où tous les efforts devraient être consacrés à la lutte contre ce fléau endémique du chômage de masse, les « visiteurs du soir de Matignon » fustigent Pôle Emploi, l’institution à abattre et à dégraisser !

Au lieu de tirer tous ensemble dans la même direction, on polémique et on voudrait éparpiller Pôle Emploi façon puzzle.

 

On voit même resurgir le vieux fantasme de la privatisation rampante, solution à tous les problèmes.

 

Si un effort budgétaire n’est, par principe, pas interdit, tout ne se résume pas à une seule approche comptable. L’humain et la qualité des services que nous offrons doivent plus que jamais rester au cœur de nos missions.

 

Que penser de tous ces débats qui resurgissent opportunément au moment même où se finalise le budget Pôle Emploi 2018 et où s’ouvrent les négociations pour une nouvelle classification des emplois, celle-là même pour laquelle la Direction Générale nous assure -la main sur le cœur- qu’il n’y a aucune inquiétude à avoir quant à son financement ???

 

Ce qui est donné d’une main serait repris au centuple de l’autre ?

 

La CFE-CGC Métiers de l’Emploi portera ces interrogations devant toutes les instances compétentes et notamment au prochain Comité Central d’Entreprise du 22 septembre. Des réponses devront être apportées sur ces interrogations majeures quant au devenir de Pôle Emploi.

 

 

 

Télécharger le communiqué de presse

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